Pourchassé sans cesse par cet inlassable conflit
L'amour aux confins d'une passion des filles
Passion de l'âme enfoui au fin fond de ces femmes
Je rêve d'un monde féminin où l'homme et ses principes s'effacent
Bercé par la musique et les voix douces de demoiselles
Je me demande ce que serait le monde sans elles
En perspective, je m'enivre de profils nouveaux
Toujours en train de jeter l'œil sur tous les mouvements
Les femmes, que j'aime, ces dames sans gel
D'un regard facile déjoue mes failles sans gênes
Je ne suis dragueur mais j'aime parler
Quand au détour d'un regard, je me fais narguer
Ne jamais marcher trop près du bord, toujours maîtriser
J'aime ces femmes qui, dans les flammes, sont attisées
Ces filles dont l'excès et la beauté forme un duo complexe
Ces dames qui nourrissent mon âme, ma vie et mon texte
Femmes fatales, aux yeux destructeurs
Je suis malade, elles sont ma structure
Je suis amoureux de chacune d'entre elles
Déesse & princesse courant comme des gazelles
Dans mon sommeil, elles sont toutes parfaites
En dix comme en cent, leur réputation est surfaite
Assouvis, je m'incline devant cette puissance
Berceau de ma vie, source ultime de ma jouissance
Chaque jour dans la rue, je croise les femmes de ma vie
Celles qui dictent mes lois, servent et assouvissent mes envies
Ces femmes si classes, laisse encore en moi de profondes traces
Devant le métro je fais place devant celles qui me laissent de glaces
Et je fais face, discret, mais l'œil charmeur
Accolé de tout mon être contre ce mur porteur
J'suis plein d'ardeur, la beauté en agrandit l'ampleur
Je serais là pour les sourires, les défis, parfois même les pleurs
A genou, obligé de revendiquer la vérité
Au début exagéré, j'ai abdiqué devant cette beauté
Femme au pouvoir absolu sur mon esprit habité
Mon côté macho n'est que l'image d'une certaine humilité
Route illimité, désert sans fin et soleil radieux
Il est des jours où les déesses doivent faire leurs adieux
Je suis si triste mais il existe une solution possible
Je la recherche car ce sont elles qui la possèdent
Femmes fatales, aux yeux destructeurs
Je suis malade, elles sont ma structure
Je suis amoureux de chacune d'entre elles
Déesse & princesse courant comme des gazelles
Dans mon sommeil, elles sont toutes parfaites
En dix comme en cent, leur réputation est surfaite
Assouvis, je m'incline devant cette puissance
Berceau de ma vie, source ultime de ma jouissance
J'aime les femmes sûr d'elles, au tempérament brûlant
J'aime pavaner dans les ruelles, mon orgueil hurlant
J'aime les mannequins parfaits, les physiques de rêves
Eternel insatisfait, ma soif de beauté est sans trêve
Je poursuis mon rêve, cherchant celle à qui j'plairais
Métissé au teint halé pour laquelle je prierai
Cheveux au vent compromettant son maquillage impeccable
Jean Diesel, lunettes de soleil, femme remarquable
Eduqué dans l'esprit italien, les coutumes familiales
Je vois en elle cet amour pur, cet engagement fiable
Mon filon éternel contre les malheurs qu'offre la vie
Je recherche la perfection, je ne demande pas votre avis
Ma femme sera déesse et la plus belle de tous les temps
Se baladera sans artifices, mais survolera nettement
La beauté banale de toutes ces filles habituelles
Voguant en starlette à Saint Trop, Cannes ou Ramatuelle
Limousine massive, ma féline a l'allure fine
Chaque détail revu de près est une dorure divine
Chaque jour je peaufine et c'est l'extase sans morphine
Même au petit matin, cette beauté a encore la peau clean
Ses yeux sont des bijoux dotés de pupilles magiques
Rendant les hommes qui sont passé un petit peu nostalgique
Pas de romantisme, je suis lucide mais si porté
Par l'extrême beauté de cette fille qui m'a emporté
Femmes fatales, aux yeux destructeurs
Je suis malade, elles sont ma structure
Je suis amoureux de chacune d'entre elles
Déesse & princesse courant comme des gazelles
Dans mon sommeil, elles sont toutes parfaites
En dix comme en cent, leur réputation est surfaite
Assouvis, je m'incline devant cette puissance
Berceau de ma vie, source ultime de ma jouissance
Me voilà au sommet, ma gloire est ce petit cœur fragile
Notre amour est magique, mais la fin sera tragique
La vie est ainsi faite de rencontres, de changements hâtifs
De beautés que nos paroles recouvrent de superlatifs
La vie est une danse, la femme, symbole de la musique
C'est ce qui donne le tempo, et chez moi ce qui m'excite
C'est pour elle que j'existe, et que mon texte s'explique
Même si je m'en extirpe, mes paroles implicites m'impliquent
Jamais je ne me défends d'être subjugué par les femmes
J'aime tant cette chair, je me jetterai corps et âmes dans les flammes
Pour une journée supplémentaire auprès de ces princesses
Qui fusillent ma fierté, et mettent mon cœur en détresse
J'aime être troublé par le regard perçant
La femme est mon combat, j'le mènerai jusqu'à la terre sainte
La femme est une prouesse que seul Dieu a pu créer
Ce sont elles qui me font vivre, rire ou même crier
Merci mesdemoiselles de toujours vous donnez la peine
De vous faire belle, c'est en mon cœur que votre beauté m'appelle
Vos mains délicates et vos yeux délicieux,
Votre beauté ne peut être qu'un délit d'initiées.
Femmes fatales, aux yeux destructeurs
Je suis malade, elles sont ma structure
Je suis amoureux de chacune d'entre elles
Déesse & princesse courant comme des gazelles
Dans mon sommeil, elles sont toutes parfaites
En dix comme en cent, leur réputation est surfaite
Assouvis, je m'incline devant cette puissance
Berceau de ma vie, source ultime de ma jouissance
J'aime les femmes.
Kun Killa