Mort par amour.
(Je vous préviens c’est pas drôle)
Je parle en mon nom mais l’amour m’a fait du mal
Le tout en un mot ce « je t’aime » est mon diable
Je ne peux aujourd’hui déjà l’oublier
Celle qui faisait de sa vie mon bouclier
Je parle au passé car maintenant je me meurs
Enfermé et lassé par les tourments et ma peur
Je voudrais chanter pour oublier cette fille
Mon cœur est shunté par ses petits yeux qui brillent
Elle était mon rêve, mon parfait équilibre
Avec elle je me sentais l’âme d’un homme libre
Ecrivain et disposé à enchanter son cœur
L’espoir est vain, et moi je prie encore
Pour qu’elle revienne car mes souvenirs me font mal
Chaque nuit mes cauchemars rendent ma vie infernale
Plus rien ne va, là où je vais le doute s’installe
A 22 ans, trouvez vous ça normale ?
On dit que l’amour n’est que de passage
Je crois que c’est vrai, ça n’est en fait qu’une image
Une illusion visant à t’emmener vers le doute
Ma plume se grise en partant vers la déroute
Je n’ai qu’les souvenirs pour me sentir vivant
Car le futur est pour moi comme un brouillard givrant
Je le vois flou, sans doute incertains
J’veux faire une connerie car je pense que c’est mon destin
Elle était mon tout, mon âme et ma gloire
Je lui donnais tout mais sa flamme était si noire
Comme disparu dans l’infini pour l’éternité
Je ne respire plus, je ne l’ai jamais mérité
A croire que cette femme était un démon
Je suis tombé je m’incline devant son nom
Gravé au fer rouge sur mon front soumis
Fini pour moi tous ces instants de sourires
Je n’fais que souffrir, j’vais en direction du pire
Et je m’en fou car sans elle je n’ai plus d’avenir
Mes larmes sont chaudes, ma tristesse sans limite
J’en suis au stade où mes projets périclitent
Je fais appel au plus grand de tous les hommes
De toutes les femmes, mon Dieu délivre mon âme
Je mets un genou à terre en guise d’allégeance
Mais s’il te plait mon père abdique mes souffrances
Je m’en remets de toutes mes forces au tout puissant
Je suis presque battu, le front glissant
Je ferme les yeux et ce couteau est jouissant
Cette lame a un effet tellement étourdissant
Et je disparais dans l’ignorance
Prêchant comme un taré depuis ma naissance
D’aller au paradis rejoindre le bonheur
Car sur Terre c’est la mort que j’ai eue pour seule âme sœur
Baby, je pleurs.
Oh baby je pleurs
Flo pour [.L.] …
I can't keep my head up...
(Je vous préviens c’est pas drôle)
Je parle en mon nom mais l’amour m’a fait du mal
Le tout en un mot ce « je t’aime » est mon diable
Je ne peux aujourd’hui déjà l’oublier
Celle qui faisait de sa vie mon bouclier
Je parle au passé car maintenant je me meurs
Enfermé et lassé par les tourments et ma peur
Je voudrais chanter pour oublier cette fille
Mon cœur est shunté par ses petits yeux qui brillent
Elle était mon rêve, mon parfait équilibre
Avec elle je me sentais l’âme d’un homme libre
Ecrivain et disposé à enchanter son cœur
L’espoir est vain, et moi je prie encore
Pour qu’elle revienne car mes souvenirs me font mal
Chaque nuit mes cauchemars rendent ma vie infernale
Plus rien ne va, là où je vais le doute s’installe
A 22 ans, trouvez vous ça normale ?
On dit que l’amour n’est que de passage
Je crois que c’est vrai, ça n’est en fait qu’une image
Une illusion visant à t’emmener vers le doute
Ma plume se grise en partant vers la déroute
Je n’ai qu’les souvenirs pour me sentir vivant
Car le futur est pour moi comme un brouillard givrant
Je le vois flou, sans doute incertains
J’veux faire une connerie car je pense que c’est mon destin
Elle était mon tout, mon âme et ma gloire
Je lui donnais tout mais sa flamme était si noire
Comme disparu dans l’infini pour l’éternité
Je ne respire plus, je ne l’ai jamais mérité
A croire que cette femme était un démon
Je suis tombé je m’incline devant son nom
Gravé au fer rouge sur mon front soumis
Fini pour moi tous ces instants de sourires
Je n’fais que souffrir, j’vais en direction du pire
Et je m’en fou car sans elle je n’ai plus d’avenir
Mes larmes sont chaudes, ma tristesse sans limite
J’en suis au stade où mes projets périclitent
Je fais appel au plus grand de tous les hommes
De toutes les femmes, mon Dieu délivre mon âme
Je mets un genou à terre en guise d’allégeance
Mais s’il te plait mon père abdique mes souffrances
Je m’en remets de toutes mes forces au tout puissant
Je suis presque battu, le front glissant
Je ferme les yeux et ce couteau est jouissant
Cette lame a un effet tellement étourdissant
Et je disparais dans l’ignorance
Prêchant comme un taré depuis ma naissance
D’aller au paradis rejoindre le bonheur
Car sur Terre c’est la mort que j’ai eue pour seule âme sœur
Baby, je pleurs.
Oh baby je pleurs
Flo pour [.L.] …
I can't keep my head up...