Coup de gueule, coup de haine à base de nicotine
Cigarette pour l’haleine saillante façon guillotine
Ce bon vieux Kun Killa reprend du service
Mets le beat, ne calcule pas, moi j’te sers l’vice
Tu sais très bien et tu n’as pas oublié
Mon son tourne, ce qui fait que ta tête a vrillé
Je crache sans cesse sur les rappeurs à billets
Habillés de la tête aux pieds sans pitié
Par des marques exploitant des enfants sans argent
Adidas, Nike ou autres grands commerçants
Annihilant l’espoir d’une nation forte et instruite
Pour la grandeur ainsi qu’la richesse d’une élite
Soi-disant supérieur et en passe de prendre le pouvoir
Je préfère voir les rappeurs partager le savoir
Sans la gloire, mais dans l’ombre, composant sans compter
Des textes glauques comme des bombes explosant par milliers
Tu peux crier, essayer de tirer
Nous sommes si nombreux tu ne sauras pas où viser
Toi tu es visible, installé en haut de la pyramide
Et tu contemples le monde, mais le visage placide
Presque teinté d’acide, moi je t’assaille
Avec mon texte pauvre mais t’empêchant de t’asseoir
Tu regardes de partout, affolé de toute part
Mais tu me vois flou car il est d’jà trop tard
Tu es touché par cette musique sous pression
Diabolique, esthétique, beat avec ambition
Chaque mot est une lame de l’enfer venu te chercher
Plus la peine pour ton âme d’espérer se cacher
Y’a trop de pouvoir réunis dans si peu de mains
Ni l’argent ni la gloire ne fournit le destin
Après ça, comment croire ou sourire à la vie
Si en haut, au parloir, l’argent règle les soucis
Taxes et impôts te tombe sur le dos
Mais les riches ne connaissent pas ce fardeau
L’argent appelle l’argent, moi j’appelle ça du vent
On nous baise bien pendant que ces gens payent comptant
Non content d’la richesse, de pouvoir et d’ivresse
Ils s’acharnent sans cesse à délivrer la détresse
Espérant dominer un peu plus par temps de chaos
Moi je ponds ce son, puis je vous dis Ciao.
Moi, Killa, je m’engage à rester intègre
Je préfère être honnête et connaître la pègre
Rester fier, humble, pas commettre l’absurde
On vit dans un monde où l’accession est absoute
On vit dans c’monde effarant, accablé par le vice
De l’argent s’emparant peu à peu de nos vies
Société nouvelle pour nouvelle consommation
Faire de chaque produit une éligible addiction
500 millions de dollars investis pour l’image
Publicités ou pancartes bousillant le paysage
Mais nous rendant chaque jour un peu plus dépendant
De ces produits communs qui n’ont rien de bandant
Et pourtant aujourd’hui l’industrie est précaire
C’est la crise comme au temps de l’après guerre
Les banques ne prêtent guère et préfèrent
Laisser faire le temps et les ministères
Comme quoi banques et états sont de connivences
Nous font la doublette, nous pénètrent avec aisance
Peu importe que tu aies ou non la connaissance
Vient sur Terre et ne pense pas à tes dépenses
Car à tes dépends tu comprendras vite le système
Géré par des familles dont chaque gènes est stratagème
Stratégie complotée dans le secret, à huis clos
Bidelberg, Skull and Bones ou forum de Davos
Et je me bats pour que chacun connaisse
Le monde où l’on vit, ses forces, ses faiblesses
Les vrais dirigeants, Rockefeller et autres Kissinger
Les présidents sont marionnettes et les consignes gèrent
L’empire immense dont ces gens sont les maîtres
Je monte en transe et montre l’argent sans compromettre
L’indépendance ou la mouvance de mes textes
Vous savez quoi ? Que tout ces gens aillent se faire mettre
J’emmerde le monde et je le clame haut et fort
Je pose des bombes avec ces mots comme renforts
Je m’efforce d’adopter le meilleur style qu’il soit
Ecoute ce beat, profite du style de Kun Killa
Et toi aussi emmerde ces gens à ton tour
Renseigne toi sur eux, et fait tout pour
Un jour, les exterminer un à un
Dans ce monde destiné à prendre la pente du déclin
Cigarette pour l’haleine saillante façon guillotine
Ce bon vieux Kun Killa reprend du service
Mets le beat, ne calcule pas, moi j’te sers l’vice
Tu sais très bien et tu n’as pas oublié
Mon son tourne, ce qui fait que ta tête a vrillé
Je crache sans cesse sur les rappeurs à billets
Habillés de la tête aux pieds sans pitié
Par des marques exploitant des enfants sans argent
Adidas, Nike ou autres grands commerçants
Annihilant l’espoir d’une nation forte et instruite
Pour la grandeur ainsi qu’la richesse d’une élite
Soi-disant supérieur et en passe de prendre le pouvoir
Je préfère voir les rappeurs partager le savoir
Sans la gloire, mais dans l’ombre, composant sans compter
Des textes glauques comme des bombes explosant par milliers
Tu peux crier, essayer de tirer
Nous sommes si nombreux tu ne sauras pas où viser
Toi tu es visible, installé en haut de la pyramide
Et tu contemples le monde, mais le visage placide
Presque teinté d’acide, moi je t’assaille
Avec mon texte pauvre mais t’empêchant de t’asseoir
Tu regardes de partout, affolé de toute part
Mais tu me vois flou car il est d’jà trop tard
Tu es touché par cette musique sous pression
Diabolique, esthétique, beat avec ambition
Chaque mot est une lame de l’enfer venu te chercher
Plus la peine pour ton âme d’espérer se cacher
Y’a trop de pouvoir réunis dans si peu de mains
Ni l’argent ni la gloire ne fournit le destin
Après ça, comment croire ou sourire à la vie
Si en haut, au parloir, l’argent règle les soucis
Taxes et impôts te tombe sur le dos
Mais les riches ne connaissent pas ce fardeau
L’argent appelle l’argent, moi j’appelle ça du vent
On nous baise bien pendant que ces gens payent comptant
Non content d’la richesse, de pouvoir et d’ivresse
Ils s’acharnent sans cesse à délivrer la détresse
Espérant dominer un peu plus par temps de chaos
Moi je ponds ce son, puis je vous dis Ciao.
Moi, Killa, je m’engage à rester intègre
Je préfère être honnête et connaître la pègre
Rester fier, humble, pas commettre l’absurde
On vit dans un monde où l’accession est absoute
On vit dans c’monde effarant, accablé par le vice
De l’argent s’emparant peu à peu de nos vies
Société nouvelle pour nouvelle consommation
Faire de chaque produit une éligible addiction
500 millions de dollars investis pour l’image
Publicités ou pancartes bousillant le paysage
Mais nous rendant chaque jour un peu plus dépendant
De ces produits communs qui n’ont rien de bandant
Et pourtant aujourd’hui l’industrie est précaire
C’est la crise comme au temps de l’après guerre
Les banques ne prêtent guère et préfèrent
Laisser faire le temps et les ministères
Comme quoi banques et états sont de connivences
Nous font la doublette, nous pénètrent avec aisance
Peu importe que tu aies ou non la connaissance
Vient sur Terre et ne pense pas à tes dépenses
Car à tes dépends tu comprendras vite le système
Géré par des familles dont chaque gènes est stratagème
Stratégie complotée dans le secret, à huis clos
Bidelberg, Skull and Bones ou forum de Davos
Et je me bats pour que chacun connaisse
Le monde où l’on vit, ses forces, ses faiblesses
Les vrais dirigeants, Rockefeller et autres Kissinger
Les présidents sont marionnettes et les consignes gèrent
L’empire immense dont ces gens sont les maîtres
Je monte en transe et montre l’argent sans compromettre
L’indépendance ou la mouvance de mes textes
Vous savez quoi ? Que tout ces gens aillent se faire mettre
J’emmerde le monde et je le clame haut et fort
Je pose des bombes avec ces mots comme renforts
Je m’efforce d’adopter le meilleur style qu’il soit
Ecoute ce beat, profite du style de Kun Killa
Et toi aussi emmerde ces gens à ton tour
Renseigne toi sur eux, et fait tout pour
Un jour, les exterminer un à un
Dans ce monde destiné à prendre la pente du déclin
Kun Killa
